Vous pensez que l’économie circulaire, c’est juste trier vos déchets 🧐 ? Détrompez-vous ! Aujourd’hui, des géants de l’industrie mondiale transforment nos vieux objets en ressources ultra-précieuses. Résultat : moins de gaspillage, plus d’innovation, et des modèles économiques qui font décoller leur chiffre d’affaires tout en réduisant leur empreinte carbone 🤩. Selon le Forum Économique Mondial (WEF), l’économie circulaire pourrait générer d’ici 2030 jusqu'à 4 500 milliards de dollars de bénéfices économiques ! C’est pourquoi vous devez comprendre comment ces pionniers cassent les codes et prouvent que rentabilité et planète peuvent faire bon ménage. Allez, on vous emmène dans les coulisses du changement !
Vous pensiez que votre vieille doudoune Patagonia était bonne pour la poubelle ? Erreur de rookie 😨 ! Chez Patagonia, la durabilité, c’est la base du business model. Depuis 2013, la marque outdoor américaine a lancé le programme Worn Wear : un service de réparation, de reprise et de revente de vêtements d’occasion. Résultat ? Plus de 100 000 pièces réparées chaque année aux États-Unis et une communauté de clients fidèles qui préfèrent rafistoler plutôt que jeter.
Et Patagonia ne s’arrête pas là. La marque pousse l’éco-conception à fond : matériaux recyclés, traçabilité, transparence totale sur la chaîne d’approvisionnement… 87 % de ses collections sont aujourd’hui fabriquées à partir de fibres recyclées ou renouvelables. Et pour ceux qui veulent vraiment changer la donne, l’entreprise encourage même à acheter moins, à travers des campagnes publicitaires qui incitent à ne pas acheter leurs produits neufs 😳. Oui, vous avez bien lu.
↪️ Côté impact, c’est du solide : réduction drastique des déchets textiles, allongement de la durée de vie des produits, et fidélisation client hors norme. Cerise sur le gâteau ? Le chiffre d’affaires ne s’effondre pas, bien au contraire : Patagonia a dépassé le milliard de dollars en 2022, prouvant qu’on peut cartonner en misant sur l’économie circulaire.
Fini le temps où Ikea rimait avec meubles jetables et déménagements catastrophes 🙅 ! Depuis quelques années, le géant suédois s’est lancé dans une transformation radicale : passer d’un modèle linéaire à une économie circulaire, où chaque étagère Billy ou canapé Klippan peut avoir plusieurs vies. Leur objectif ? Devenir 100 % circulaire d’ici 2030.
Comment ? D’abord, en lançant des programmes de reprise et de revente de meubles d’occasion dans plus de 30 pays. En France, par exemple, Ikea propose de racheter vos anciens meubles pour leur offrir une nouvelle vie en magasin. Résultat : plus de 47 000 meubles repris en 2022 rien que dans l’Hexagone 🙌. Mais ce n’est pas tout ! L’entreprise intègre de plus en plus de matériaux recyclés dans ses produits, comme le plastique PET ou le bois certifié FSC.
↪️ Côté impact, moins de déchets, réduction de la consommation de ressources vierges et de nouveaux services qui fidélisent la clientèle. En 2022, 15 % des matériaux utilisés par Ikea étaient déjà recyclés ou renouvelables, et ce chiffre grimpe chaque année 📈. Bref, Ikea prouve qu’on peut être un mastodonte mondial et s’engager sérieusement dans l’économie circulaire.
Qui aurait cru qu’un fabricant de moquette deviendrait un modèle d’économie circulaire ? Interface (leader mondial des dalles de sol modulaires) a totalement réinventé son industrie en misant sur le recyclage et la neutralité carbone. Leur pari : produire des moquettes à partir de matériaux recyclés, puis récupérer les anciennes dalles pour les transformer… en nouvelles moquettes. Oui, c’est du circuit fermé, et ça marche 🤩 !
Depuis 1994, Interface a lancé son programme “Mission Zero”, avec un objectif clair : parvenir à afficher un bilan carbone négatif d’ici 2040. L’entreprise a d’ailleurs lancé la première moquette “carbon negative” au monde, qui absorbe plus de CO₂ qu’elle n’en émet lors de sa fabrication. Leur initiative ReEntry permet par ailleurs de collecter et recycler les vieilles dalles usagées, évitant ainsi des milliers de tonnes de déchets enfouis chaque année.
↪️ Résultat ? 52 % des matières premières utilisées sont recyclées ou biosourcées, et 97 % des émissions de gaz à effet de serre dans les usines ont été réduites. Bonus : des clients séduits, une image de marque ultra verte 🌱, ainsi qu’un business florissant !
Unilever, c’est le mastodonte derrière vos glaces Magnum, shampoings Dove ou thés Lipton. Mais côté emballages, la multinationale n’a plus envie de jouer les pollueurs 🙈 : elle s’est engagée à réduire de moitié l’utilisation de plastique vierge d’ici 2025 et à rendre tous ses emballages recyclables, réutilisables ou compostables.
Comment ça se concrétise ? Unilever teste des solutions innovantes partout dans le monde 💡 : bouteilles en plastique recyclé pour Dove, sticks de déodorant rechargeables, emballages en papier pour les glaces Carte d’Or… et même des stations de recharge pour lessive Sunlight en Afrique du Sud. En 2023, 21 % des emballages plastiques utilisés par Unilever étaient déjà issus du recyclage post-consommation. L’entreprise collabore aussi avec des start-ups comme Loop pour développer la consigne et la réutilisation des emballages.
↪️ L’impact est double : des millions de tonnes de plastique économisées, une image de marque qui séduit les consommateurs écolos (et les investisseurs) ainsi qu’une économie circulaire qui valorise les ressources existantes.
On ne va pas se mentir : la fast fashion, c’est un vrai casse-tête pour la planète 🤯. Mais H&M, géant suédois du textile, a décidé de changer la donne en s’attaquant de front au gaspillage vestimentaire. Depuis 2013, H&M collecte vos vieux vêtements dans ses magasins partout dans le monde, toutes marques confondues.
Mais la collecte, ce n’est que le début ! H&M transforme ces vêtements en nouvelles fibres pour créer des collections “Conscious” intégrant coton bio, polyester recyclé et autres matières innovantes. En 2023, 85 % des matériaux utilisés par H&M étaient recyclés ou issus de sources plus durables. Et pour aller plus loin, la marque teste des machines de recyclage en magasin, comme Looop à Stockholm, qui permet de voir son vieux pull se transformer en un nouveau, sous vos yeux.
↪️ L’impact ? Moins de textiles en décharge, une réduction de la demande en matières vierges et une prise de conscience chez les clients sur la valeur de leurs vêtements. H&M n’a pas encore tout réglé, mais prouve qu’un géant de la mode peut amorcer sa révolution circulaire.
👉 L’économie circulaire, ce n’est pas qu’un concept, c’est une révolution en marche portée par des entreprises qui prouvent que durabilité rime avec performance 📈. Pour rejoindre ces pionniers et devenir un acteur clé de la transition écologique, les formations de l’IET vous offrent les compétences concrètes et opérationnelles indispensables !
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